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Le départ se fait devant la gare de Saint-Aubin-lès-Elbeuf (ancienne agglomération d’Elbeuf), bel exemple du style néo-normand, avec ses faux pans de bois, caractéristiques des années 30.
Par la rue Isidore-Maille, puis la rue Thiers, on arrive à l’église Saint-Aubin, dont les plans ont été dessinés par Jacques-Eugène Barthélémy, architecte rouennais du XIXe siècle, dont on retrouvera la patte tout au long du circuit . Par la rue Gambetta, sur rejoint ensuite le pont Jean-Jaurès.
Puis le chemin du Halage qui nous conduit à la plage. On a alors toutes les chances d’admirer quelques cygnes avant de rejoindre les anciennes écluses, transformées en port de plaisance après la suppression du barrage de Martot en 1939.
Après les écluses, on tourne à gauche deux fois pour rejoindre la rue de Freneuse et prendre le temps d’admirer le Couvent du Sacré-Cœur et, un peu plus loin, le château des Terrasses construit au début du XIXe. Il est reconnaissable à sa pierre jaune et à sa toiture qui lui donne des airs de villa italienne.
Rejoindre Elbeuf…
Au bout de la rue, on prend à gauche pour retrouver le pont Jean-Jaurès. On le traverse pour rejoindre, en tournant à droite en bas du pont, la mairie d’Elbeuf et l’imposant monument aux morts de la place Aristide-Briand.
En traversant la place, sur passe devant l’église Saint-Jean. La rue Henry, puis la rue du Puchot, de l’autre côté du carrefour, nous mènera à l’église Saint-Étienne, paroisse primitive du bourg d’Elbeuf au XVIe siècle.
Après avoir admiré vitraux et tuiles vernissées, on rejoint le centre par la rue des Martyrs, qui par la rue Chennevière nous amènera rue Camille-Randoing et Cours Gambetta dans le quartier des tisserands.
Les anciennes usines de briques rouges aux grandes baies vitrées ont été réhabilitées à usage d’habitation ou en équipement culturel, comme la médiathèque ou la Fabrique des savoirs, ravies d’accueillir les visiteurs le temps d’une halte.
On redescend ensuite pour retrouver l’église Immaculée-conception, dont le monument aux morts intérieur a été réalisé par une artiste elbeuvienne, Berthe Mouchel.
… Puis Caudebec
De l’autre côté du carrefour, les rues Devé, Lenormand, Victor-Hugo (en tournant à gauche) et de la République (à droite), permettent de rejoindre le centre de Caudebec-lès-Elbeuf. Sa façade présente plusieurs particularités comme cette inscription déconcertante sur un édifice religieux : Liberté, Égalité, Fraternité, la devise de la République.
En empruntant la rue en face de l’église, on découvre au bout de celle-ci un autre exemple d’architecture industrielle avec l’ancienne usine de laine Revel, aujourd’hui une école.
On tourne à l’angle de celle-ci pour rejoindre la rue de la République et cheminer tranquillement jusqu’au centre-ville de Saint-Pierre où nous attendons une église blanche, mais également la mairie dont on reconnaîtra également le style néo-normand .
Il faut se montrer attentif pour repérer, à droite, dans le parc, le Donjon, en fait le vestige d’une installation hydraulique du XIXe siècle.
Avant un retour à Elbeuf
En descendant la rue aux Saulniers, on rejoint à droite la rue de la Villette qui nous permettra d’arriver à Martot.
Au bout de la route, à droite, on aperçoit le Château Grandin de l’Épervier. Construit en 1734, il connaîtra plusieurs vies avant de servir aujourd’hui de lieu de réceptions et de séminaires.
On peut également voir une chapelle du XVIIIe où les paroissiens avaient l’habitude de venir écouter la messe avant que le châtelain, gêné par cette foule, fasse construire une nouvelle église de l’autre côté de la grand-route. Martot c’est donc aujourd’hui 400 habitants, un château et deux églises !
On passe devant le second édifice (prudence en traversant) pour rejoindre la Seine, là où elle est rejointe par l’Eure puis par l’Oison, petit ruisseau en provenance de Saint-Pierre. Par la gauche, le chemin du Halage nous ramène ainsi au Champ de foire et au cirque-théâtre, monument emblématique de la ville.
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